Chaire Maritime

Titulaire de la Chaire

  • Brice Trouillet, Professeur de Géographie à l'université de Nantes, Institut de Géographie et d'Aménagement Régional de l'Université de Nantes (IGARUN).
     
  • Co-porteur de la Chaire : Laurent Baranger

Cette équipe est amenée à évoluer en fonction des sujets traités, des centres d’intérêts des enseignants-chercheurs mais aussi des opportunités de recherche : projets complémentaires, thèses, stages, etc.

Personnels de la Chaire :
  • Jérémy Daniel, ingénieur de recherche
  • Valentin Daniel, ingénieur de recherche
  • Sarah Petrovitch, ingénieure de recherche
  • Précédents collaborateurs : Charlie Daoulas (2019, IR), Clinton Gounfei (2020, stagiaire), Aanchal Jain (2019, stagiaire), Émile Rouleau (2019, stagiaire), Laurie Tissière (2019-2020, IR), Laura Zaegel (2020, stagiaire)
Doctorants et post-docs : Enseignants-chercheurs et chercheurs :

L'environnement scientifique

La Chaire Maritime est portée scientifiquement par le laboratoire LETG (UMR 6554 CNRS) auquel est associé le LEMNA (EA 4272), et s’appuie également sur les forces scientifiques nantaises dans le champ maritime (biologie, droit, écologie, économie, génie civil, géographie, sociologie, etc.) fédérées au sein de l'IUML (FR 3473 CNRS).
Elle tisse des liens étroits avec les projets dans lesquels B. Trouillet est impliqué (notamment Multi-Frame et COP-VALPENA), ainsi qu'avec le MSP research network qu'il co-anime.

Présentation

Ces dernières années, les activités humaines en mer n’ont cessé de se développer : transport maritime commercial, énergies marines renouvelables, pêche, aquaculture, extractions et même loisirs. La Planification de l’Espace Maritime est un vrai enjeu de société et est essentielle pour en assurer le partage entre ses différents usagers.

En Europe, comme dans un nombre croissant de pays dans le monde, la mise en place de la Planification de l’Espace Maritime vise à en assurer un multi-usage équilibré par l’établissement d’une stratégie partagée. Elle passe par des étapes de concertation ou de consultation rassemblant des collectivités locales, des services de l’État, des professionnels ou encore des riverains.

L’objectif de la Chaire Maritime est de mener une réflexion sur les modalités d’appropriation de l’espace maritime tenant compte des rapports entre les dynamiques humaines et l’espace maritime.

Cette Chaire a pour ambition de constituer une équipe de recherche dédiée. Elle se positionne comme accélérateur de recherches scientifiques interdisciplinaires (géographie, économie, droit, sociologie, statistiques...) pour l’ensemble des questions liées aux activités humaines menées au sein des espaces maritimes.


Objectifs

  • Développer et partager une réflexion sur les dynamiques des activités humaines en mer
     
  • Apporter une réponse aux besoins opérationnels et transversaux de l’ensemble des usagers actuels et futurs de l’espace maritime :
    - à l’échelle nationale
    - adaptée aux besoins de chacune des filières
    - nourrie de retours d’expériences étrangères
     
  • Accompagner la concertation autour des projets maritimes

____________________________________________________________________________________________________

Programme de travail

> Le programme scientifique de la Chaire Maritime est structuré autour de 2 axes.
 
Ces axes constituent non pas une liste d’actions qui seront réalisées, mais plutôt un catalogue d’actions-clés qui seront activées en fonction de leur intérêt scientifique et des moyens financiers dégagés. En complément, une activité de coordination et d’animation, ainsi qu’en matière de valorisation et de diffusion sera assurée par l’équipe de la Chaire Maritime.
Analyser les données existantes et produire de nouvelles données sur les dynamiques des activités en mer
Cette action a pour objectif d’analyser les données géographiques existantes pour décrire les activités humaines en mer dans le cadre de la planification de l’espace maritime, et permettant de comprendre la dynamique des activités. Cela passe par des travaux tels que : états de l’art sur les données mobilisées pour représenter la dynamique des activités humaines en mer et sur les typologies d’usage, analyse critique des données, implications de l’utilisation des données (éventuels aspects financiers, juridiques, éthiques, etc.), constitution et structuration de bases de données relatives aux activités humaines en mer.
 
Proposer des méthodes et de nouveaux outils pour produire de nouvelles données ou améliorer les données existantes
Lorsque que les données n’existent pas, ne sont pas accessibles/disponibles ou ne s’avèrent pas adaptées à une utilisation dans le cadre de la planification de l’espace maritime, cette action a pour but d’identifier des voies de contournement, notamment la construction de nouvelles données à l’aide de méthodes alternatives et nécessitant parfois des développements spécifiques d’outils (interfaces de saisie, crowdsourcing, etc.). Cela passe à nouveau par la réalisation d’états de l’art sur les méthodes mises en place pour acquérir ou pré-traiter de nouvelles données. Cela consiste également à contribuer à améliorer les protocoles d’acquisition de données existants. C’est par exemple la question de l’amélioration de la compréhension des contraintes à imposer sur les plans d’échantillonnage spatialisé dans le but d’augmenter la capacité de recherche sur les sondages complexes afin de garantir un haut niveau de qualité aux données construites (e.g., données Valpena relatives aux pratiques de pêche maritime professionnelle).
 
Évaluer les impacts socio-économiques et territoriaux
Cette action s’intéresse à l’évaluation d'impacts socio-économiques et à l’évaluation des mesures ERC (séquence progressive « Eviter-Réduire-Compenser »). Il s’agit d’une part d’identifier et de tester de nouveaux outils permettant d'améliorer l'évaluation des effets induits par la combinaison de différentes activités en mer : effets directs et indirects (méthode Léontief et de Gosh), effets induits par branche par la méthode input/output, effets multiplicateurs d'emplois par branche, tests de sensibilité et analyse de risque (Monte Carlo), etc. Il s’agit d’autre part de concevoir un cadre d'analyse des interactions entre activités en mer et développement d'une méthodologie d'évaluation des effets cumulés entre activités. Enfin, des travaux pourront être menés pour concevoir, tester et développer des outils de suivi des impacts des nouveaux usages en mer sur les activités existantes.
Processus participatifs, données et représentations
En complément des travaux sur les données et méthodes, cette action a pour objet l’étude de l’utilisation des données et de leurs représentations dans les démarches participatives. Concrètement, il s’agit de voir comment les données, leurs métriques et les géovisualisations (e.g., cartes statiques, cartes animées, portails de données, etc.) qui en sont faites, sont comprises et utilisées par les acteurs. En particulier, il s’agit d’analyser le rôle des données et de leurs représentations elles-mêmes dans l’exercice multipartenarial de planification.
 
Processus participatifs et prospective
Il s’agit d’intégrer une approche prospective dans la planification de l’espace maritime. Cela consiste en l’analyse en combinant, sous différents angles d’approche, les possibilités d’implantation et de colocation actuelles et futures d’activités en mer : analyse des déterminants des pratiques (contraintes pour l’implantation, stratégies de pêche, évaluation des forces motrices telles que l’offre/demande, identification de germes de changement, etc.), analyse des plans issus des processus de planification de l’espace maritime, spatialisation des contraintes socio-environnementales pour la pratique des activités et scénarios relatifs aux évolutions possibles (hypothèses de levée de verrous technologiques, économiques, réglementaires, acceptabilité, gouvernance, disponibilité spatiale, etc.). Ces éléments reposent sur la production d’indicateurs.
 
Processus participatifs et innovations
Au-delà des données et autres dispositifs techniques, la planification de l’espace maritime repose en grande partie sur des processus participatifs dont l’objet est de construire des visions communes de la mer. Néanmoins, l’exercice s’appliquant à un espace original, la mer, avec des acteurs très diversifiés, les modalités pratiques et outils font défaut pour venir en appui aux démarches participatives dans de la planification de l’espace maritime. Cette action consiste à faire un bilan, à analyser, et si possible à faire évoluer des outils multipartenariaux (SIG participatifs, groupes de compétences, etc.) et aussi d’adapter voire d’inventer des modalités originales de participation des acteurs à la planification de l’espace maritime.

> Les chantiers :

1- Dresser un état de l’art des données existantes

Dans un contexte d’évolution et de diversification importante des activités humaines en mer, l’analyse spatiale et temporelle des interactions est devenue un enjeu primordial vis-à-vis des risques de conflits d’usages (sociaux, économiques, environnementaux,...) inhérents. Néanmoins, la description spatiale et temporelle de ces activités et particulièrement celles de loisirs présentent des lacunes et des degrés de précisions géographiques différents (Peuziat et al, 2015). L’un des axes principaux de la Chaire maritime est de dresser en premier lieu un état de l’art des jeux de données existants et des méthodologies d’analyses des interactions entre les usages en mer à partir d’une recherche bibliographique/webographique. À partir de ce travail, le but est, par la suite, de collecter ces jeux de données identifiés décrivant les différentes activités en mer, d’analyser la qualité intrinsèque et leur capacité à répondre aux besoins d’analyses par rapport à l’axe de travail de la Chaire maritime.

À cet effet, un état de l’art des typologies des usages en mer a été réalisé. Il a permis la proposition d’une typologie hiérarchique imbriquée basée notamment sur les travaux de Le Tixerant (2004) et Le Guyader (2013). Cette nomenclature permet de conserver une adaptabilité dans la description des activités favorable une représentation multi-scalaire. Elle permet de personnaliser les descripteurs socio-économiques rattachés à chaque type d’activité et d’intégrer la description des activités humaines à un outil de représentation cartographique dynamique permettant de mettre en œuvre des fonctions de requêtes thématiques, spatiales et temporelles (Peuziat et al, 2015).

Sur la base de cette typologie, 189 jeux de données comportant des couches d’informations géographiques (vectorielles ou matricielles) ont été identifiés comme potentiellement intéressants pour décrire l’ensemble des activités humaines en mer à l’échelle de la France métropolitaine. À l’automne 2019, 111 jeux de données ont été collectés. Ceux non collectés à ce jour sont dus à une restriction d’accès et nécessitent un contact avec le producteur ou le diffuseur du jeu de données ou sont payants.

Une fois cette phase de collecte préalable réalisée, l’étape suivante consistera en la prise de contact avec les organismes propriétaires des jeux de données possédant des restrictions ou de délimiter une enveloppe budgétaire afin de pouvoir récupérer un ensemble d’informations sur les usages en mer plus précis et détaillé. À l’issue de la phase de collecte, qui pourra être actualisée au besoin, si des jeux de données pertinents sont identifiés, ceux-ci seront ensuite analysés, notamment au plan de leur qualité interne et externe.
Un autre axe de travail de la Chaire maritime est de réaliser, suite à cette étape de collecte, un travail sur l’identification des besoins en jeux de données présentant des lacunes vis-à-vis de l’analyse cartographique des dynamiques des activités humaines en mer et donc de développer des méthodes d’acquisition et de production de jeux de données innovantes sur la base d’un travail bibliographique.

La réflexion d’une base de données spatiales permettant la manipulation d’objets géographiques va être mise en place pour réaliser la structuration et l’administration des jeux de données indispensables aux différentes analyses des interactions des activités humaines en mer.
 

2- Dresser un état de l’art des méthodes participatives mobilisées en aménagement et identifier les spécificités liées au domaine d’application (PSM)

À l’heure où les stratégies de façade sont soumises au débat public, un retour critique sur l’expérience française doit être mené. La Chaire maritime propose d’appréhender cet objet à travers 3 grandes actions :
 
  1. Réaliser un état de l’art relatif aux dispositifs d’aménagement et de concertation afin de soulever des questions émergentes
     
  2. Enquêter les acteurs engagés dans la démarche française de planification de l’espace maritime pour procéder à une évaluation empirique du processus
     
  3. Confronter les connaissances théoriques et pratiques sur les dispositifs de concertation et d’aménagement maritimes afin de formuler des recommandations opérationnelles et des perspectives scientifiques.
Nous entendons d’abord éclairer les enjeux de la concertation en interrogeant le concept du pouvoir dans le contexte de la planification de l’espace maritime; en étudiant les freins et leviers temporels et géographiques de la concertation; en s’intéressant aux dispositifs et systèmes d’acteurs de la participation à l’aménagement ; en posant un regard critique sur les indicateurs et les instruments utiles à l’élaboration de stratégies et de plans de gestion concertés.

À terme, il s’agira d’expérimenter et de promouvoir des outils d’aide à la concertation qui favorisent le dialogue et l’implication des parties prenantes (SIG participatifs, serious games…), à la lumière des enseignements de la revue bibliographique, de l’enquête qualitative et des travaux menés dans les autres axes de recherche de la Chaire maritime.

 

3- Évaluer les impacts socio-économiques et territoriaux

La feuille de route de la Chaire maritime sur le volet « socio-économique » sera déployée autour de 5 thèmes :
 
  1. Typologie des usages en mer et des activités économiques associées
    L’objectif est de définir une typologie des usages qui soit compatible avec l’approche spatiale des activités et qui permettent de bien définir les profils des activités économiques associées. Plusieurs critères seront pris en compte : activité nomade ou sédentaire, activité marchande, non marchande, nomenclatures d’activité, etc.
     
  2. La notion d’impact
    L’objectif est de partager une définition commune des notions d’impacts directs, indirects, induits, cumulés, les effets positifs et négatifs.
     
  3. Les méthodes d’évaluation des impacts
    L’objectif est d’établir une analyse critique des méthodes d’évaluation socio-économique avec un regard particulier sur les retours d’expériences des évaluations déployées pour les activités maritimes à l’international ou pour les activités terrestres.
     
  4. Les indicateurs nécessaires aux évaluations
    Il s’agira de définir des indicateurs de référence qui permettent de mesurer les interactions entre les différents compartiments.
     
  5. Les données disponibles ou à collecter
    Il s’agira de définir pour l’ensemble des activités directes et indirectes les données économiques accessibles et le cas échéant les organismes collecteurs. En cas d’absence de données, il conviendra d’évaluer des solutions alternatives (collecte directe, autres échelles d’analyse, etc.).

Actions de valorisation et de diffusion

  • Mars 2019 : Intervention de B. Trouillet et H. Macé (RTE) lors de la soirée Université/Entreprises (Nantes)
  • Juillet 2019 : Conférence de B. Trouillet à MARE 2019 (University of Amsterdam)
  • Juillet 2019 : Conférence de B. Trouillet à La Mer XXL (Nantes)
  • Septembre 2019 : Conférence de B. Trouillet au Séminaire de l’Association of European Schools of Planning et le MSPRN (University of Hamburg)
  • Octobre 2019 : Conférence de B. Trouillet et de L. Baranger dans le cadre d’une formation RTE (Nantes)
  • Novembre 2019 : Conférence de B. Trouillet dans le cadre du RFI Weamec (Nantes)

Chantier « Données géographiques »

  • Créer une base de données spatiale afin de pouvoir gérer et administrer les jeux de données
  • Lancement du travail sur le site pilote sur quatre activités identifiées :
    1. Plaisance et nautisme, transport maritime, extraction de granulats, pêche professionnelle
    2. Etat de l’art de méthodes alternatives de numérisation
    3. Test et critique de ces méthodologies
    4. Discussion sur les modes de représentations spatiales et métriques liés aux jeux de données
  • Stage de master 2 « Etude sur les méthodes de représentation et d’analyse spatiale des données décrivant les activités humaines en mer »
  • Documenter les métadonnées
  • Analyser la qualité des données
  • Effectuer une revue de littérature en méthodologie alternative de production de données

Chantier « Évaluations socio-économiques »

  • Exploiter les enquêtes « entreprises » de l’INSEE pour caractériser le transport maritime et l’exploitation de ressources non vivantes (granulats, éolien,…)
  • Mettre en place des collectes complémentaires de données pour les usages statistiquement mal couverts (les loisirs, la gestion et connaissance du milieu par exemple) en lien avec leurs structures représentatives
  • Effectuer une revue de la littérature sur les méthodologies d’évaluation des interactions socioéconomiques entre plusieurs usages

Chantier « Concertation »

  • Poursuivre le retour d’expérience sur la mise en œuvre de la planification de l’espace maritime en France
  • Comparer les démarches d’aménagement concertées de l’espace maritime français avec des cas continentaux et des cas internationaux
  • Intégrer les chantiers par l’organisation d’ateliers de réflexion et de discussion sur les représentations spatiales, les indicateurs qualitatifs, les enjeux sociaux et sociétaux

Lancement du travail sur le site pilote « Bretagne sud et Pays de la Loire »

  • Analyser les données manquantes et les besoins en nouveaux jeux de données
  • Tester des méthodes alternatives de création de données
  • Tester des méthodes d’analyse spatiale et temporelle des interactions entre usages
  • Tester des méthodes pour subdiviser une branche dans ce TES pour l’ensemble des territoires du littoral métropolitain (par exemple, suivant la répartition du CA entre les sous-branches) puis régionaliser ce TES national (par exemple, calibrage de la demande finale des ménages par la part de la population régionale dans la population nationale)
  • Mettre en place la méthode de l’analyse de la chaîne de valeur pour certaines activités maritimes
  • Identifier des indicateurs permettant de spatialiser les valeurs économiques liées à certains usages

____________________________________________________________________________________________________

Ressources scientifiques

  • Jeu de fiches “état de l’art” : Définition de l'espace maritime et de ces usages, Proposition de typologie des activités humaines en mer, Etat de l’art des données géographiques, La création de nouvelles données pour contourner les manques, Analyse de la qualité des données, Méthode d’analyses des données, Métadonnées (titres et structures susceptibles de changements).
     
  • Rapport “La participation dans le champ de l’aménagement de l’espace maritime: état de l’art et bilan critique des expériences françaises et étrangères” (titre provisoire). Ce rapport sera composé de trois volets: état de l’art, résultats d’une enquête et perspectives de recherche.

  • Barillé L., Le Bris A., Goulletquer P., Thomas Y., Glize P., Kane F., Falconer L., Guillotreau P., Trouillet B., Palmer S., Gernez P. 2020. Biological, socio-economic, and administrative opportunities and challenges to moving aquaculture offshore for small French oyster-farming companies. Aquaculture, 521, 735045. https://doi.org/10.1016/j.aquaculture.2020.735045
     
  • Trouillet B. 2019. Aligning with dominant interests: the role played by geotechnologies in the place given to fisheries in marine spatial planning. Geoforum, 107: 54-65. https://doi.org/10.1016/j.geoforum.2019.10.012
     
  • Trouillet B., Bellanger-Husi L., El Ghaziri A., Lamberts C., Plissonneau E., Rollo N. 2019. More than maps: Providing an alternative for fisheries and fishers in marine spatial planning. Ocean & Coastal Management, 173: 90-103. https://doi.org/10.1016/j.ocecoaman.2019.02.016
     
  • Trouillet B. 2018. Les pêches dans la planification spatiale marine au crible des géotechnologies : perspectives critiques sur le “spatial” et “l’environnement”. Mémoire d’Habilitation à Diriger des recherches. Université de Nantes. 126p. https://tel.archives-ouvertes.fr/tel-01961744
Mis à jour le 10 janvier 2024.